La Côte d'Ivoire depuis le reversement de Laurent Gbagbo subit la volonté d'un régime imposé par la communauté internationale. L'ancien président ivoirien avait dit lors de sa campagne électorale en 2010 que les élections opposaient deux hommes différents de par leurs visions. L'un nationaliste soucieux de l'avenir et développement de son pays et l'autre défenseur des intérêts étrangers. Certains ivoiriens croyaient à une politique de dénigrement. Aujourd'hui le poids de la dette contractée par le régime rhdp "ouvre les yeux" des uns et des autres. Là où le président Laurent Gbagbo a, sur proposition du ministre de l'économie et des finances d'alors,feu Paul Antoine Bohoun Bouabré, utilisé le budget sécurisé, (c'est-à-dire compter sur les ressources propres, malgré la guerre et la partition du pays, Ouattara, le "super" économiste, a choisi le surendettement.
Aloka Tokou
Commentaires